
Elles seront rejetées, ne serait-ce que parce que la double majorité du peuple et des cantons serait requise pour leur acceptation.
La victoire est une chose, les moyens mis en œuvre pour y parvenir et les arguments invoqués en sont d’autres.
A la lecture du magazine Bon à Savoir du 4 avril 2021 page 9, on apprend la raison pour laquelle Bio Suisse recommande de voter non à l’initiative « pour une eau potable propre » : en cas d’acceptation, la grande majorité des exploitations herbagères se convertiraient au bio provoquant une surabondance de l’offre qui mettrait en danger la structure équitable des prix. Autrement dit, les prix du bio diminueraient et Bio Suisse ne le veut pas.
Bon à Savoir n’a pas l’air d’apprécier :
